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Carnet de feintes des profs de la Mala

Pour toute remarque, écrivez-moi à adrinkit@netcourrier.com



Année scolaire 1994/1995

M. Barois           (13/1)  : +      C’est pas parce que j’ai démontré ce qu’était un éléphant que je sais ce qu’est une fraise des bois...

M. Petitpré       (13/1)  : +      Ta copie est tellement dégueulasse que je ne me torcherai même pas le cul avec !

M. Lefebvre       (13/1)  :

(Darras)               +   Ma maman, elle faisait dessiner les élèves quand ils foutaient le bordel à la maternelle.

(M. Lefebvre)        +   Ouais, ben moi, j’vais m’entraîner à faire des ronds !

M. Legrand                   : +      T’as une chauve-souris dans le beffroi !

M. Legrand                   : +      T’as une araignée dans le plafond !

M. Bernaert                 : (A la fin d’un cours)

                                      +      Ici la cloche c’est moi !

M. Boutry         (17/1)  : (Aux douches, ayant une écharpe autour de la tête)

(M. Boutry)          +   Boisleux, danse !

(Boisleux)            +   Pourquoi ?

(M. Boutry)          +   Parce que quand le tchador, les souris dansent !

M. Barois           (19/1)  : +      A force de voir « par Thalès », « par Pythagore », « par Chasles » dans les D.S., on a envie de mettre « par Toutatis » dans la marge !

M. Legrand        (20/1)  : (Palindrome)

                                      « Tu l’as trop écrasé, César, ce Port-Salut »


M. Legrand        :

(Fauvarque)         +   ALLEZ LENS !

(M. Legrand)        +   Fauvarque, si vous continuez, je vous LANCE dehors !

Commentaire de M. Boutry :   « C’est impossible, le lancer de nains est interdit ! »

M. Bernaert      (24/1)  : +      Les Russes, sous Staline, ils mettaient les intellectuels en Sibérie : non seulement le froid les punissait, mais si les Russes en avaient besoin, le froid, çà conserve !

M. Boutry         (26/1)  :

(Boisleux)            +   Monsieur, vous voulez un Sablé[1] pour la route ?

(M. Boutry)          +   Ben oui, parce qu’il y a du verglas...

M. Legrand        (27/1)  : (A Beun, qui rit bêtement)

                                      +      Monsieur Beun, le rire, c’est comme les tulipes, çà se cultive...

M. Legrand        (27/1)  : (A Corret qui parle avec sa voisine)

                                      + Monsieur Corret, si vous ne vous taisez pas, je vous déporte !

M. Barois           (2/2)    :

(Beun)                   +   On pourrait utiliser Thalès...

(M. Barois)           +   Qui çà ?

(Beun)                   +   Le théorème de Thalès...

(M. Barois)           +   Ah, bah oui ! Sinon il faudrait me dire votre laisse !

M. Legrand        (3/2)    : (Boutin, un redoublant, raconte sa vie en plein cours)

                                      +      Ah, ces anciens combattants ! Ils n’arrêtent pas de raconter leur vie !


M. Barois           (9/2)    : (Beun étant au tableau)

(M. Barois)           +   Vous avez de la mémoire ?

(Beun)                   + Euh...

(M. Barois)           + Vous voyez, il a oublié !

Mme Rochart     (9/2)    : (Mme Rochart réprimande François qui proteste)

                                      +      Alors non seulement il bavarde mais en plus, il discute !

M. Legrand        (10/2)  : (Joly rit depuis le début du cours)

(M. Legrand)        +   Monsieur Joly, je trouve votre rire sarcastique...

(Joly)                   +   Eh, c’est pas d’ma faute, j’ai le fou rire depuis ce matin !

(M. Legrand)        +   Ecoutez monsieur Joly, je sais distinguer le fou rire du rire du fou !

M. Lefebvre                  : (Guilbert tombe de sa chaise)

                                      +      Monsieur Guilbert, la prochaine fois, vous pourriez vous amortir sur la connerie de votre voisin de derrière[2] !

M. Bernaert      (22/2)  : (A De Bretagne, qui lève sa main tendue)

                                      +      Eh bien, je ne savais pas que vous étiez fasciste, Monsieur De Bretagne !

M. Legrand        (13/3)  : (Ravin ayant cassé un verre en plein cours, M. Legrand s’adresse à M. Arsenlis)

                                      +      Monsieur Ravin a cassé un verre, et il me casse les nerfs !

M. Legrand        (13/3)  : +      Çà a beau être une ménagerie ici, je ne vais pas vous ménager !


M. Legrand        (20/3)  :

(Corret)               +   Je pus...

(M. Legrand)        +   Oui, on sait...

(Corret)               +   Mais monsieur, c’est le passé simple !

(M. Legrand)        +   Oui, je sais que tu pus de tes pieds faire un si long voyage !

M. Legrand        (20/3)  :

(Philippe)              +   Monsieur, j’ai reçu un projectile !

(M. Legrand)        +   Oui, ta mère en a reçu un juste après ta naissance !

M. Lefebvre       (21/3)  : (Discussion sur la mythologie dans Gargantua)

(Delzenne)            +   Monsieur, pourquoi Jupiter il se transforme en cygne pour séduire Léda ?

(M. Lefebvre)        +   Parce que Léda est une femelle cygne !

(Delzenne)            +   Bah, non...

(M. Lefebvre)        +   Est-ce que pour séduire une jeune fille, tu vas te transformer en vache ?!

M. Ducrocq       (23/3)  : (A un élève)

                                      +      Va me chercher des craies, Charles attend[3] !

M. Lefebvre       (23/3)  :

(Darras)               +   Monsieur, qui c’est Euclide ?

(M. Lefebvre)        +   Un mathématicien.

(Darras)               +   Et qu’est-ce qu’il a fait ?

(M. Lefebvre)        +   Des maths...

M. Legrand        (24/3)  : (Boutin fait semblant d’avoir un pansement au doigt avec un tube. M. Legrand le réprimande)

(Boutin)               +   Mais monsieur, j’ai pas de tube !

(M. Legrand)        +   Çà n’empêchera pas de vous faire entuber !

M. Bernaert      (27/3)  : (Vu dans un D.S. , et cité en cours)

                                      +      Ne confondez pas : « L’expédition des Mille (Garibaldi) » et « L’expédition d’Emile Garibaldi » !

M. Lefebvre       (27/3)  : (Avec une classe bruyante)

                                      +      Prenez une seconde[4], faites la chauffer 6 ou 7 heures, ressortez-la à 16h30 et voilà ce que çà donne...

M. Legrand        (31/3)  : (En parlant de Lefrançois, qui a les cheveux longs)

                                      +      « Chevelure féminoïde »

M. Legrand        (3/4)    : (Juliette ayant poussé un cri)

                                      +      Bon, je ne veux plus entendre de cris de femmes violées !

M. Lefebvre       (4/4)    : +      Appr... , accr... , accompli. Bon, je vais reprendre la bière le midi, j’ai d’énormes problèmes de diction !

M. Petitpré       (4/4)    : (A Ferrer)

                                      +      Si les cons volaient, tu serais chef d’escadrille !

M. Bernaert      (5/4)    : +      On verra plus tard que l’automobile deviendra un secteur pilote (sans faire de jeu de mots !)

M. Legrand        (7/4)    : (Dans un moment d’énervement)

                                      +      Allez, va jouer aux billes !

M. Legrand        (11/4)  : (A Duprey, qui vient de tomber de sa chaise)

                                      +      Duprey, le fait d’être déséquilibré ne t’autorise pas à parler.

M. Barois           (11/4)  : (Ayant posé une question, il s’adresse à Beun)

(M. Barois)           +   Vous avez levé la main ?

(Beun)                   +   Non.

(M. Barois)           +   Alors baissez la.


M. Barois           (13/4)  : (Feuilletant un livre de Chimie, il s’adresse à la classe)

(M. Barois)           +   C’est vous qui faites les expériences de Chimie ?

(La classe)             +   Ben... Oui...

(M. Barois)           +   Eh bien, çà m’étonne que les labos tiennent encore debout !

M. Legrand        (14/4)  : (En rendant un D.S. à Sagot)

                                      +      Zagot tu baizes...

M. Legrand        (14/4)  : +      Y en a qui vont apprendre à faire du Thème... Vieux motard que jamais !

M. Legrand        (14/4)  : (A Boudoux, qui joue avec sa calculatrice)

                                      +      Boudoux, si tu veux faire joujou, va dehors !

M. Barois           (14/4)  : (En correction de D.S.)

                                      +      Si on regarde sa figure... « SA » figure, pas la mienne !

M. Barois           (11/5)  : (A Beun, qui reste silencieux au tableau)

                                      +      J’aime bien vous envoyer au tableau parce que vous ne dites pas trop de bêtises...

M. Legrand        (15/5)  : (A François, légèrement « enveloppé », qui bavardait pendant que M. Legrand demandait comment on disait une branche.)

                                      +      En tout cas, à toi, je te conseille une branche : celle de l’alimentation !

M. Legrand        (16/5)  : (A Beun qui bavardait)

                                      +      Tu regardes le tableau fixement et tu la fermes hermétiquement...

M. Legrand        (17/5)  : +      Monsieur Brochet, nous ne sommes pas dans le même bassin !

M. Legrand        (19/5)  : (En parlant des baladeurs, à Lefrançois)

                                      +      Monsieur Lefrançois, c’est autre chose qui vous rend sourd !

M. Legrand        (22/5)  : (A une classe bruyante)

                                      +      L’prochain qui parle, j’le défonce !

M. Legrand        (29/5)  : (A Boutin, assez petit)

                                      +      T’avais qu’à manger de la soupe !

Mlle Pidou        (29/5)  : +      Les entreprises ont besoin de liquidités pour se remettre à flot...

M. Legrand        (30/5)  : (A Ryckewaert)

                                      +      Si tu ne mets pas un terme à ta diarrhée verbale, je vais te faire ravaler tes derniers mots avec tout ce qui s’y rapporte !

M. Legrand        (30/5)  : (A Lefrançois, qui est revenu de l’infirmerie)

                                      +      Çà va mieux ?... Et vous avez parlé de vos problèmes psychologiques ?

M. Legrand        (30/5)  :

(M. Legrand)        +   En langage local, une cane se dit une « anette »[5].

(Boidin)                +   Eh, non ! C’est la femelle de l’âne !

(M. Legrand)        +   Tu as tout à fait raison de t’intéresser à cette espèce animale étant donné ton niveau intellectuel !

M. Legrand        (30/5)  : (Discussion sur la traduction du coucher de soleil)

                                      +      Alors comme vous n’êtes pas des astres, et même pour certains des désastres,...

M. Legrand        (30/5)  : (Hélène étant au tableau)

(Lefrançois)         +   Monsieur, elle est bonne... en Allemand.

(M. Legrand)        +   Pourquoi ? Tu l’as déjà goûtée ?

M. Ducrocq       (1994)  : (Jeu de mots)

                                      +      Le désir s’accroît quand l’effet se[6] recule...

M. Legrand        (31/5)  : +      Si y en a encore une qui regarde dehors, j’la fous dehors et çà réglera le problème !

M. Legrand        (31/5)  : +      Le premier que je vois lancer quelque chose, j’le transforme en projectile !


Ne lisez pas la feinte qui suit[7] (si je dis çà, vous allez la lire ; ce n’est pas ce que je veux)

M. Boisleux       (1/6)  : Ce n’est pas une feinte de prof mais elle rivalise avec celles de M. Legrand et mérite d’apparaître dans cet illustre carnet.

                                      (Discussion sur le prochain D.S. d’Histoire)

(Vandewalle)    +   De toute façon j’ai pas besoin d’apprendre, j’ai la science infuse !

(Boisleux)           + Eh bien... Va te faire un thé !


Après cette interruption involontaire de notre programme, vous pouvez reprendre normalement votre lecture.

M. Petitpré       (1/6)    : (A Brochet qui la ramène)

                                      +      Il pète plus haut que son trou du cul !

M. Barois           (1/6)    : (A Huyart)

                                      +      C’est des taches d’encre ou une maladie sur votre main ?

M. Boutry         (1/6)    : (Après la bataille d’eau)

                                      +      L’obus éclate, mais l’o-non-bus[8] éclate aussi : on la met dans des bombes à eau, on la lance et elle éclate...

M. Boutry         (1/6)    : (Après la bataille d’eau)

(M. Boutry)          +   Tu sais pourquoi je me suis laissé arroser ?

(Boisleux)            +   Non...

(M. Boutry[9])         +   Parce que dans la politique, on doit se mouiller !

M. Legrand        (2/6)    : (A François, qui met ses grands pieds dans l’allée)

                                      +      Tu les planques tes péniches, oui !

M. Bernaert      (6/6)    : (A Degans qui est allé chez le coiffeur)

                                      +      C’est la coupe d’été... offerte par les tondeuses Honda ?...


M. Barois           (6/6)    : (A Degans qui est allé chez le coiffeur)

                                      +      Bah alors, Degans, faut pas rester allongé dans la pelouse au printemps !

Mlle Pidou        (6/6)    : (Discussion sur la protection sociale)

                                      +      On a tout pipé sur les Anglais... Bah quoi ? J’ai le droit de dire piper !... Tiens, c’est la première fois que Monsieur Avot ouvre un œil en cours...

M. Gedda           (7/6)    : (A la station d’épuration)

(Le guide)              +   Il y en a qui boivent l’eau sortant de leur station d’épuration, mais moi, je ne le fais pas.

(M. Gedda)            +   Oui, c’est des gens qui doivent être cinq ans directeur d’une station d’épuration et qu’après, on retrouve dans un hôpital...

Mlle Pidou        (7/6)    : (Discussion sur l’impôt sur le revenu)

                                      +      Il y a des gens qui travaillent plus et ils gagnent moins !... Faut être français pour faire çà !

Mlle Pidou        (13/6)  : (Les secondes 1 rentrant de la station d’épuration)

                                      +      Mais qu’est-ce qu’ils ont tous à passer ?... Ah oui ! Je sais : c’est l’épuration !

M. Lefebvre       (13/6)  :

(M. Lefebvre)        +   Un monsieur au crâne légèrement dégarni rencontre un marocain le long de la Seine. Le marocain tombe à l’eau. Pour le Front National, c’est un accident légèrement regrettable.

(Boidin)                +   Un accident fâcheux...

(M. Lefebvre)        +   Un accident facho !


M. Legrand :

(M. Legrand)        +   Vous mériteriez un avertissement !

(Deprez)               +   J’en ai déjà un !

(M. Legrand)        +   Vous en méritez deux...

(Deprez)               +   Pourquoi ?

(M. Legrand)        +   Parce qu’un homme averti en vaut toujours deux !

Année scolaire 1995/1996

M. Degraeve      (6/9)    : (Un seconde arrive dans le couloir)

                                      +      Mais ils sont inconscients, ces secondes ! Bientôt on va les retrouver dans le couloir des Terminales ! Après ils restent deux semaines dans un placard et quand on retrouve des déchets on sait plus qui c’était...

M. Degraeve      (8/9)    : +      Madame de Romilly, c’est une femme à l’académie française. Mais franchement, j’aurais préféré la Chicholina. Y’en a aucune qui a le fond, mais au moins y en a une qui a la forme !

M. Legrand        (8/9)    : (Simon traduit « Sinn » par « le réservoir »)

                                      +      En tout cas, le votre est inépuisable !

M. Bernaert      (8/9)    : (Delzenne, Calcoën, etc. arrivent en retard en cours)

(Delzenne)            +   On revient de... esse...

(M. Bernaert)       +   Pardon ?

(Delzenne)            +   On revient d’A.S.S.

(M. Bernaert)       +   Ah ! J’ai cru que tu revenais de la messe !

M. Petitpré       (11/9)  : (Le tableau étant totalement utilisé)

(Maeckerell)        +   Monsieur, je peux effacer le tableau ?

(M. Petitpré)        +   Nan, t’écris par-dessus...

M. Vermeulen    (11/9)  : (Traduction d’un texte)

(Deprez)               +   Elle aime son travail très beaucoup.

(M. Vermeulen)     +   Vous avez appris le français à Tombouctou ?

M. Vermeulen    (11/9)  : (Delzenne ayant mal traduit une phrase)

                                      +      Vous êtes pas bouché, vous êtes tamponné !

M. Legrand        (11/9)  : +      Qui se sent morveux, se mouche !

M. Legrand        (11/9)  : (Izard est au tableau)

(M. Legrand)        +   Pose ta craie !

(Izard continue à écrire)

(M. Legrand)        +   POSE !

(Izard pose sa craie)

(M. Legrand)        +   La prochaine fois, tu te laveras les portugaises comme il faut !

M. Legrand        (11/9)  :

(Un élève)              +   On est le combien ?

(M. Legrand)        +   Bon, j’ai déjà dit que je n’avais pas une tête de calendrier...

M. Legrand        (11/9)  : (A Simon, qui vient de parler)

                                      +      Voilà monsieur Cussonnet[10] qui fait de l’esprit...

M. Petitpré       (12/9)  :

(M. Petitpré)        +   Alors, Stéphanie, t’as compris ?

(Stéphanie)            +   Oui !

(M. Petitpré)        +   Eh ben, çà m’étonne !

M. Damarey       (13/9)  : +      Se mettre au premier rang peut être dangereux : il y a parfois des retombées... humides !

M. Degraeve      (13/9)  : +      Par exemple, la réputation de Jeanne d’Arc est basée sur le fait qu’elle est partie en fumée...

 

M. Bernaert      (14/9)  :

(M. Bernaert)       +   On fera une matinée spéciale un mercredi matin... Vous serez avec des 1ères ES, j’en suis désolé !

(La classe)             +   Oooh...

(M. Bernaert)       +   Bon, j’vais arrêter sinon je vais me faire mal voir...

M. Bernaert      (14/9)  : +      Oui, oui, les profs de matières scientifiques réfléchissent !

M. Vermeulen    (15/9)  : (Pendant un cours bruyant)

(M. Vermeulen)     +   Qui est-ce qui a dit çà ?... Personne ?

(Deprez)               +   Non.

(M. Vermeulen)     +   Comme d’habitude !

M. Bernaert      (15/9)  : +      Le paysan russe, le « moujik », avait une particularité : il savait dompter le morse... En effet, la moujik adoucit les morses...

M. Legrand        (18/9)  :

(Un élève)              +   M’sieur ?

(M. Legrand)        +   Oui m’sieur ?

M. Vermeulen    (18/9)  : (Pendant un exercice où il faut compléter des phrases)

(Hélène)                +   « I don’t understand why you like... » teaching.

(M. Vermeulen)     +   Ho, çà, c’est vous qui le dites, moi, je casse ma croûte !

M. Vermeulen    (18/9)  : (Pendant une traduction)

(M. Vermeulen)     +   « Les hommes politiques sont seulement intéressés par l’argent : ils ne voient que l’aspect lucratif du gain. »

(Un élève)              +   L’aspect... quoi ?

(M. Vermeulen)     +   Hé, faut lire autre chose que Tintin...


M. Degraeve      (18/9)  : (A propos de l’argumentation)

                                      +      Si vous voulez faire de la politique, il faut savoir tenir 25 minutes sur un sujet comme les caramels durs et les caramels mous. Çà intéresse tout le monde et çà fait pas perdre de voix... Sauf pour ceux qui ont un dentier : CHKLOCK !

M. Petitpré       (18/9)  : (Donnant un D.N.S. un lundi)

(M. Petitpré)        +   Bon, vous me ferez çà pour mercredi.

(La classe)             +   Eh, non, on a D.S. d’Anglais !

(M. Petitpré)        +   J’me disais bien que vous n’aviez rien à faire !

Mlle Pidou        (21/9)  : (Preudhomme mordille son crayon)

                                      +      Preudhomme, tu as du bleu sur les lèvres... T’as embrassé un schtroumph ?

M. Bernaert      (21/9)  : (Discussion sur les partis socialistes au début du XXè siècle)

                                      +      Les Anglais sont à part, comme toujours... Ils roulent à gauche, ils parlent anglais...

M. Bernaert      (21/9)  : (Discussion sur la prise de notes)

(Deprez, criant)     +   Vas-y Alex !

(M. Bernaert)       +   Faites comme Deprez, pensez peu, écrivez peu !

M. Bernaert      (21/9)  : (Discussion sur le monde paysan en Russie, au début du XXè siècle)

                                      +      Il y a les « moujik » des grands « mir » (les Koulaks) et les « mini-mir », c’est les « moujiks » ! Et dans le Sud, on a les « mir-couleur »...

M. Damarey       (22/9)  : (Discussion sur l’interprétation du spectre lumineux)

                                      +      Les atomes, quand ils s’excitent, il faut que çà retombe... C’est comme... les cours d’Anglais : il faut que çà retombe.


M. Legrand        (22/9)  : (A Izard, qui avait pris la défense d’un élève)

                                      +      Izard, toi, t’es pas un avocat, t’es un témoin à charge... un avocat verreux et marroneux !

M. Legrand        (22/9)  : (A une classe bruyante)

                                      +      Ici, y en a qu’un qui est payé pour gueuler, c’est moi !

M. Legrand        (22/9)  :

(M. Legrand)        +   Izard, tais-toi !

(Izard)                  +   Mais j’ai rien dit !

(M. Legrand)        +   Raison de plus pour te taire !

M. Vallée          (22/9)  : +      Il faut être givré pour s’installer en Afrique !

M. Degraeve      (22/9)  : (Discussion sur l’évolution du Français)

                                      +      Quand on dit « t’as qu’à pas venir ce soir », « t’as qu’à pas », c’est plus du japonais que du Français !

M. Legrand        (25/9)  : (A Laurent, qui est assez bruyant)

                                      +      Avec le traitement que je vais t’imposer, tu vas rentrer dans l’énorme...

M. Vermeulen    (25/9)  : (Avant un cours de Grammaire)

(La classe)             +   Mais m’sieur, c’est pas juste, on a pas de Grammaire[11] !

(M. Vermeulen)     +   Vous n’avez qu’à aller voir la grosse au C.D.I. !

(Vandewalle)       +   La grosse quoi ?

(M. Vermeulen)     +   Bah la grosse grammaire du C.D.I., je vous en ai déjà parlé !


M. Barois           (25/9)  :

(M. Barois)           +   On appelle (S) le système.

(Darras)               +   Ouais ! (S) comme système !

(M. Barois)           +   Et Darras, on va l’appeler (D) comme Dérangeant...

(Deprez)               +   (D) comme Dérangé !

(M. Barois)           +   J’ai pas voulu le vexer trop vite !

M. Petitpré       (25/9)  : +      Bah pourquoi y a deux plans de classe ici ? Un pour Monsieur Vermeulen et un pour les autres profs ?

M. Petitpré       (25/9)  : (Monsieur Darques monte dans sa voiture et met la radio assez fort)

(M. Petitpré)        +   Ouah ! DD il écoute la radio ! C’est quoi comme radio ?

(Un élève)              +   C’est France Info...

(M. Petitpré)        +   Ah bon ? J’pensais que c’était une radio pour intellos !

M. Alloucherry (25/9)  : +      Ceux qui travaillent beaucoup, ils se trompent souvent ; et comme je travaille beaucoup, je me trompe souvent !

M. Gedda           (26/9)  :

(M. Gedda)            +   L’homme a combien de chromosomes ?

(Darras)               +   48 !

(M. Gedda)            +   Bon, pour Darras et le singe, c’est peut-être 48, mais pour l’homme, c’est 46 !

M. Petitpré       (27/9)  :

(M. Petitpré)        +   Alors, Mahon, t’as réussi à faire l’exercice ?

(Mahon)                +   Ouais, et j’ai même pas eu besoin d’aide !

(M. Petitpré)        +   On n’est jamais trop aidé !

M. Vermeulen    (28/9)  : (Avec une classe bruyante)

(Cousin)                +   Moi, j’suis calme !

(M. Vermeulen)     +   Arrêtez de vous calmer !

M. Bernaert      (29/9)  : +      Pour conserver notre culture française : buvez moins de Coca, et plus de Châteauneuf-du-Pape !


M. Bernaert      (29/9)  : (Cousin revient en retard d’A.S.S.)

(Cousin)                +   On revient de la messe !

(M. Bernaert)       +   çà fait plaisir de voir qu’il y en a au moins cinq qui vont à la messe...

M. Legrand (Ven. 29/9)  : +      Je dis « taisez-vous », enfin... plutôt « Vendredi taisez-vous » !

M. Barois           (2/10)  : (A propos du barycentre)

(M. Barois)           +   Tout le monde a entendu parler du centre de gravité ?

(La classe)             +   Oui...

(M. Barois)           +   Eh ben c’est pas tout à fait pareil...

M. Degraeve      (2/10)  : +      Bon, mon cours fait deux pages, alors j’vais essayer de vous en faire un comprimé... effervescent !

M. Degraeve      (2/10)  : +      Henri IV, quand il partait en guerre, il dormait dans des auberges, etc... Et s’il rencontrait une servante qui lui plaisait, il avait des relations... plutôt intimes avec... On pouvait dire qu’il connaissait la France en profondeur !

M. Degraeve      (3/10)  : (Aurélie ayant poussé un cri de femme violée, alors que M. Degraeve entrait)

                                      +      Eh bien, je ne savais pas que je faisais encore cet effet-là !

M. Alloucherry (3/10)  : (Montrant une copie pleine de blanco)

                                      +      Arrêtez de mettre du blanco dans vos copies, regardez celle-là : on dirait que je mangeais du yaourt quand j’ai corrigé !

M. Bernaert      (5/10)  : (A propos des consignes de D.S.)

(Darras)               +   Monsieur, on le met à quel ordre, le chèque ?

(M. Bernaert)       +   Darras, ne dévoile pas tous mes vices en public !

M. Boutry         (5/10)  : (Montrant l’affiche de « Frankenstein » et s’adressant à Faucon)

                                      +      T’as vu ? Tu passes à la télé !

M. Boutry         (5/10)  : (Cachant « Frank » de « Frankenstein » et s’adressant à Faucon)

                                      +      T’as vu ? J’passe à la télé !

M. Alloucherry (6/10)  : (En parlant des D.S.)

                                      +      L’organisation de Michel est nickel !... Je dirais même plus : elle est platine...

M. Legrand        (6/10)  : +      On accepte pas les nains dans les camps de nudistes car ils mettent leur nez dans les affaires des autres !

M. Legrand        (6/10)  :

(Dehondt)            +   On s’en bat les...

(M. Legrand)        +   Ne parlons pas des absentes !

M. Legrand        (6/10)  :

(Lootvoet)           +   Monsieur, j’peux aller jeter mon chewing-gum ?

(M. Legrand)        +   Fais comme chez toi, pisse dans la soupe...

M. Damarey       (9/10)  : (Agez ayant écrit « référentiel » avec un C)

                                      +      Référentiel avec un T ! Parce que c’est pas un mot qui fait rêver...

M. Alloucherry (10/10) : (Pendant un T.P. de Chimie)

(Bache[12])               +   Ah, çà pue !

(M. Alloucherry) +   Bon, Bache, çà pue peut-être, mais je suis en train de parler !

M. Boutry         (16/10) :

(Barège)               +   M’sieur, vous allez voir quoi ce soir ?

(M. Boutry)          +   MALASSISE PARK...

M. Boutry         (16/10) : (Ayant retrouvé le slip de Barège)

                                      +      T ’es révolutionnaire ? (T’es sans-culotte !)

M. Alloucherry (17/10) : (Pendant un T.P. de Chimie)

                                      +      Ne forcez pas trop sur les robinets... Un jour, ils pourraient vous rester dans les mains !


M. Barois           (18/10): (Cousin ayant fait une proposition idiote)

                                      +      Faites des propositions intelligentes... A ce moment-là, vous pouviez proposer un safari au Kenya !

M. Legrand        (20/10): (A Têtart)

(M. Legrand)        +   Cette future grenouille commence à m’énerver !

(Plus tard)

(M. Legrand)        +   Espèce de larve, si je t’entends encore croasser, j’te fous dehors !

(Têtart)               +   Crôa, Crôa...

(M. Legrand)        +   Tais-toi rainette !

M. Legrand        (3/11)  : (A Simon qui le contredisait)

                                      +      Ecoute, fous la paix au peuple et assieds-toi !

M. Vermeulen    (3/11)  :

(M. Vermeulen)     +   Lisez la phrase.

(Lemaire)              +   Comment ?

(M. Vermeulen)     +   En anglais de gauche à droite...

M. Legrand        (6/11)  : (A Bürckhart)

                                      +      Bürck, originaire du Burkina-Faso...

M. Degraeve                 : (Ayant cassé une craie malgré l’avertissement au tableau)

                                      +      Rien ne va dans ces classes de première : les tableaux sont dégueulasses, on a des craies explosives... (ils ont dû les avoir pas cher an Serbie ou en Bosnie)

M. Boutry         (7/11)  : +      Andy Capet, le frère de Hugues, était un américain qui s’occupait de la santé publique.

M. Degraeve      (8/11)  : +      Tuer quelqu’un pour le manger, on ne va pas en faire tout un plat...

Mme Vreck         (8/11)  : (Avant une correction d’annales de BAC)

                                      +      Alors, vous avez réussi l’exercice « anal »?

M. Alloucherry (9/11)  : +      Ouais, mais Darras, tu sais très bien qu’on prend pas un pog pour tirer au sort...

Mlle Pidou        (9/11)  : +      J’ai utilisé trois crayons pour corriger vos copies... Heureusement que c’est bientôt Noël !

M. Vallée          (9/11)  :

(Un élève)              +   Monsieur, vous avez les contrôles ?

(M. Vallée)           +   Oui, mais ils doivent être dans une couche géologique...

M. Legrand        (20/11): +      L’oignon fait la sauce, et le gnon fait la bosse...

M. Boutry         (21/11): (Après Lens-Prague)

                                      +      Lens, j’men bats... lance !

M. Bernaert      (23/11): (A propos de la guerre 1914-18)

                                      +      Des soldats qui peuvent se faire tuer le lendemain ou la veille...

M. Legrand        (27/11): +      Bon, un volontaire (un, plus loin, volontaire)...

M. Boutry         (29/11): +      Moi, quand ch’étais petit, ch’étais bon en clache : j’avais fingt sur fingt...

M. Boutry         (29/11): +      Fauvarque, pour ton dossier sur le cidre, tu me sembles pommé !

M. Legrand        (1/12)  :

(Cordonnier)        +   Monsieur, est-ce qu’on peut aller voir un film ?

(M. Legrand)        +   Alors là, comme dirait Sylvain Augier : « Faut pas rêver » !

M. Legrand        (1/12)  :

(Bürckhart)         +   Monsieur, çà sent le médicament !

(M. Legrand)        +   Normal, t’as largué !

M. Legrand        (1/12)  : (Brame se mouchant bruyamment)

                                      +      C’est le seul instrument dont il sache jouer...

M. Barois           (4/12)  :

(Domain)               +   On appelle le point M (x ; y).

(M. Barois)           +   Euh... On l’appelle en sifflant ?


M. Barois           (6/12)  :

(M. Barois)           +   ...de toute façon, je ne vous vois pas demain.

(Dehondt)            +   Ouais !

(Eclat de rire général)

(M. Barois)           +   Dehondt, vous me rappellerez votre nom...

M. Degraeve      (7/12)  : +      Comme dirait Louis-Ferdinand Céline : « On s’en barbouille le pourtour anal. »...

M. Arsenlis        (8/12)  : (Pendant Lens-Prague, à la télé)

(La télé)                +   Les remplaçants lensois : Boli, Arsène...

(M. Arsenlis)        +   Eh, oh, c’est pas moi !

M. Legrand        (8/12)  :

(Guilbert)            +   Au fait, comment on dit une fosse sceptique ?

(M. Legrand)        +   Bah, j’sais pas moi...

(Guilbert)            +   Ah bon, vous savez pas ?

(M. Legrand)        +   Bah, on dit un trou à merde, non ?

M. Legrand        (8/12)  : (Traduction)

                                      +      ... « Hong-Kong by night avec des festins chinois... ». Et pourquoi pas des masseuses thaïlandaises ?!

M. Legrand        (11/12): (Discussion sur le papier toilette)

(Simon)                 +   M’sieur, vous savez pourquoi les Belges ils sont riches ?... C’est parce qu’ils l’utilisent des deux côtés !

(M. Legrand)        +   Et Simon, il y a trouvé une troisième utilisation : après les deux précédentes, il se mouche avec...

M. Barois           (11/12): (A propos d’un problème d’intuition)

(Cousin)                +   Là, on le sens bien aussi...

(M. Barois)           +   Non, j’ai le nez bouché !

M. Vallée          (5/1)    : (A propos des quotas installés en 1984)

                                      +      Les Q.M.G., avec un Q... comme la lettre...

M. Ducrocq                  : +      La moutarde me monte au nez !


M. Petitpré                  : (A Caron, surpris en plein bavardage)

                                      +      Eh, Caron, çà sert à rien de draguer Aurélie, t’as aucune chance...

M. Vallée                     : +      A la campagne, ‘y a qu’des bouseux... N’est-ce pas Delannoy[13] ?

M. Bernaert                 : +      On observe aujourd’hui un développement de l’héliotropisme, surtout pour les personnes âgées... Coinon, ne me regarde pas comme çà...

M. Legrand        (12/1)  :

(M. Legrand)        +   « Et le fait que je reçusse les meilleures qualifications »...

(Baptiste)             +   Monsieur, vous pouvez répéter avec « reçusse » ?

(M. Legrand)        +   Eh bien, tu vois, reçusse, c’est quand tu suces la deuxième fois...

M. Bernaert      (12/1)  : (A Dehondt)

                                      +      Je vais demander au paysan flamand de se taire...

M. Vermeulen    (15/1)  : (A Dehondt, qui tente pour la dixième fois de traduire une phrase)

                                      +      Eh ! T’es sûr que t’as pas fait caca dans ta culotte ?!

M. Legrand        (15/1)  : (A Bürckhart)

                                      +      Va falloir que je parle à ta mère de ton comportement... Au fait, elle a quel âge ?

M. Legrand                   : (Pendant la lecture d’un texte à propos de la manche)

(A un élève)           +   Toi, si tu continues, tu vas la faire toute ta vie...

M. Petitpré                  : (A un élève coiffé à la brosse)

                                      +      Tu t’es fait greffer un paillasson sur la tête ?


M. Petitpré                  : (A un élève qui vient de vomir)

                                      +      T’as retapissé les chiottes ?

M. Legrand        (15/1)  : +      Et il prit la F-8[14]...

M. Barois           (15/1)  :

(M. Barois)           +   De toute façon, vous avez un D.N.S. à me rendre.

(La classe)             +   Hein ? Hein ?

(M. Barois)           +   Oui oui, un seul...

M. Barois           (17/1)  : (Répondant à une question de Cousin)

                                      +      Il ne vous viendrait pas à l’esprit d’additionner des mètres avec des mètres carrés ?... Quoique...

M. Vermeulen    (22/1)  :

(Lefrançois)         +   M’sieur, c’est quoi le present perfect ?

(M. Vermeulen)     +   Et ta sœur, c’est quoi ?

M. Petitpré       (24/1)  : (A propos des dérivées)

                                      +      Faudra vous en mettre une tétra-chiée !

M. Legrand        (26/1)  :

(M. Legrand)        +   Tu vas pas nous embêter longtemps avec tes règles...

(La classe)             +   Note là, Boisleux...

(M. Legrand)        +   Non, non, elle est trop sanglante celle-là !

M. Barois           (2/2)    :

(M. Barois)           +   Faudra lire votre mode d’emploi.

(Brame)                 +   Mais je l’ai regardé !

(M. Barois)           +   Oui, mais il faut l’ouvrir aussi...

M. Legrand        (5/2)    : +      Tout le monde peut se tromper, dit le hérisson en descendant de la brosse à chiendent !


M. Bernaert      (5/2)    : (M. Bernaert est vêtu d’un pull rouge, et la discussion porte sur les vignobles de masse)

                                      +      C’est le gros vin qui tache... Non, je ne tache pas. Moi, c’est plutôt le grand rouge qui tache !

M. Legrand        (12/2)  : +      « Il faut éviter d’agrandir le cercle de ses amies ! »

M. Ducrocq       (15/2)  : +      A l’oral, le rendu a toujours une odeur désagréable...

M. Gedda           (5/3)    : (Avant l’excursion à la falaise de Boulogne)

                                      +      Bon, il faut savoir qu’il ne faut pas stationner en dessous d’une falaise... à moins que vous ne vouliez finir votre carrière là-bas...

M. Alloucherry (7/3)    :

(Rafin)                  +   çà tue pas la règle du gamma ?

(M. Alloucherry) +   Bah non, çà la tue pas, puisqu’elle est pas vivante...

M. Legrand        (8/3)    :

(Simon)                 +   M’sieur, c’est collé « gesprechen » ?

(M. Legrand)        +   Non, mais toi, tu vas bientôt l’être.

M. Legrand        (8/3)    : +      Bon, maintenant, j’vais m’occuper de Mallard, d’Izard et de Bürckhart... de tous les tocards !

M. Legrand        (8/3)    :

(Simon)                 +   Mais m’sieur, j’tape la brosse, elle est dégueulasse !

(M. Legrand)        +   Si tu continues, c’est toi que j’vais taper.

M. Legrand        (11/3)  : +      Izard, dernier avertissement avant l’élimination physique !!

M. Legrand        (15/3)  : (A Mallard)

                                      +      C’est pas parce que tu m’as emmerdé pendant toute une année que tu vas encore semer ta masturbation partout !!


M. Barois           (22/3)  : (A Coinon)

                                      +      Quoi non ? Si, si...

M. Gedda           (12/3)  : (A la sortie géologique de Boulogne)

(Darras)               +   Ah la vache, y fait froid !

(M. Gedda, regardant en l’air) +   Non non, c’est des mouettes !

M. Barois                      :

(Deprez)               +   On peut utiliser les angles internes-externes ?

(M. Barois)           +   Et pourquoi pas les angles demi-pensionnaires ???

M. Bernaert      (25/4)  : (A propos de l’Amérique des années 20)

                                      +      Les Noirs vont connaître une période assez sombre de leur histoire...

M. Petitpré       (29/4)  : (A propos du voyage de classe)

(M. Petitpré)        +   Pour le voyage de classe, tout va bien, mais il faudra que les filles débarrassent.

(Les filles)             +   çà va pas non ?

(M. Petitpré)        +   Bah, pourtant, chez moi c’est toujours comme çà...

(Aurélie)                +   Ouais, mais votre femme, elle est trop bonne !

(M. Petitpré)        +   Ouais, c’est vrai qu’elle est bonne !

M. Barois           (29/4)  : (Cousin ayant dit une ânerie)

(Dehondt)            +   Crétin !

(M. Barois)           +   Dehondt, j’en connais d’autres. Faut-il les nommer ?

M. Alloucherry (2/5)    : (Exercice d’électricité)

(M. Alloucherry) +   R1 égal un kil-ohm, R2 égal 2 kil-ohm, ...

(Un élève)              +   M’sieur, on dit pas « kilO-ohm » ?

(M. Alloucherry) +   Ouais mais j’ai pas le temps...


M. Petitpré                  : (A propos du voyage de classe)

(Un élève)              +   M’sieur, c’est vrai qu’il y a un groupe d’escalade filles et un garçons ?

(M. Petitpré)        +   Ouais, c’est pour apprendre aux filles à grimper aux rideaux !

M. Vallée          (10/5)  : +      Augmenter les impôts, c’est impopulaire : c’est comme claquer les portes au Futuroscope... N’est-ce pas Lefrançois ?

M. Legrand        (10/5)  : (A Simon qui se fait des tresses)

                                      +      Si tu continues, j’vais te prendre par les tresses et te foutre dehors... et tu pourras crier « Mes tresses, mes tresses[15] » !

M. Gedda           (10/5)  :

(Cordonnier)        +   Comment on reconnaît une roche extra-terrestre ?

(M. Gedda)            +   C’est marqué E-T dessus...

M. Barois           (15/5)  :

(Deprez)               +   Mais comment vous le savez ?

(M. Barois)           +   La nature m’a doté d’un cerveau, moi !

M. Legrand        (20/5)  : (A Baptiste, qui a des tresses)

                                      +      T’iras dire à M. Arsenlis que t’es un enfoiré, et en plus, un enfoiré avec des tresses... Un enfoiré en pleine détresse !

M. Barois           (21/5)  : (Une histoire de suites)

(M. Barois)           +   Mon taux d’intérêt sera de...

(Darras)               +   3,5 %

(M. Barois)           +   Oui, je n’ai plus le droit au livret jeunes !

M. Alloucherry (21/5)  : (A propos d’aimants)

                                      +      Quand il y a p paires, il y a 2p pôles...


M. Barois           (22/5)  :

(Cousin)                +   J’vais faire chercheur plus tard...

(M. Barois)           +   Vous serez chercheur ! Chercheur d’emploi...

M. Legrand        (24/5)  : +      Tout à l’heure t’aurais pu éviter de montrer tes fesses : on a vu assez d’horreurs pendant la guerre !

M. Legrand        (24/5)  : +      Mais j’suis pas votre otage, moi !

M. Damarey       (30/5)  : (A Brogniart)

                                      +      Moi, je suis sourd, çà se comprend, je suis vieux ; mais toi, t’es jeune, faudrait p’t-être que t’arrêtes !

M. Legrand        (31/5)  :

(M. Legrand)        +   ... veut dire « pénétrer ».

(Mallard)             +   « pénétrer » !!!

(M. Legrand)        +   Mallard, pendant des décennies, tu devras te contenter du travail à la main !

M. Barois           (5/6)    : (Cours de probabilité)

                                      +      Je suis incompatible avec Cousin, ne nous laissez pas seuls dans la même pièce... Il y aurait du sang !

M. Barois           (5/6)    : (A Coinon, qui vient de pousser un cri aigu)

                                      +      Faudra vous faire soigner... et restez pas trop longtemps au soleil !

M. Barois           (5/6)    : (Cours sur les probabilités)

                                      +      On va faire un diagramme de Caroll... Mais non Cousin, c’est pas votre copine !

M. Degraeve      (5/6)    : (A Levisse qui se fait remarquer pour la deuxième fois)

                                      +      Dis donc, Levisse, faudrait pas que votre 17 vous monte à la tête... D’autant plus que le chemin n’est pas long des pieds à votre tête !


 

M. Boutry         (6/6)    : (A la bataille d’eau, alors qu’il vient de lancer une bombe à eau)

                                      +      Cours, Vandewalle, comme çà çà fera un cours d’eau !

M. Degraeve      (6/6)    : (A la soirée des premières, pendant le débat avec M. Ducrocq)

                                      +      C’est parce que je suis marié que je suis misogyne !

M. Degraeve      (6/6)    : (A la soirée des premières, pendant le débat avec M. Ducrocq)

                                      +      Je ne suis pas misogyne, je suis lucide !

M. Petitpré       (6/6)    : (A la soirée des premières, après un jeu où des filles devaient sauter sur des profs, il s’adresse à M. Legrand)

                                      +      Vous savez, à c’t’âge là, elles sont maladroites...

 

Année scolaire 1996/1997

M. Houliez         (12/9)  : +      Certains écrivains prennent la philosophie pour un puits et l’obscurité comme un signe de profondeur...

M. Lesage          (12/9)  : (A Hélène qui est bronzée)

                                      +      Tu t’es versé un baril de pétrole sur la tête ?!

M. Lesage          (13/9)  : +      çà se prononce comme çà se prononce...

M. Legrand        (16/9)  :

(Un élève)              +   Comment çà se passe à l’oral ?

(M. Legrand)        +   Ah, mais très bien...

M. Legrand        (16/9)  : (A Baptiste)

                                      +      Quand j’ai demandé s’il restait des questions intelligentes, çà vous excluait automatiquement !

M. Houliez         (17/9)  : +      Il faut être méfiant... de la façon la plus méfiante...

M. Houliez         (17/9)  : +      Souvent, le plan en trois parties, c’est thèse, antithèse, foutaise...

M. Legrand        (18/9)  :

(Andrieux)            +   M’sieur, on peut faire de la grammaire ?

(M. Legrand)        +   Tu la reverras, ta mère...

M. Houliez         (18/9)  : +      J’ai pas d’esclave... vous, je ne sais pas, mais moi, je suis marié !

M. Lesage          (19/9)  : (Vandewalle se balance sur sa chaise)

                                      +      Eh vous, là-bas, arrêtez de vous balancer, sinon on va vous fracturer la chaise !...



[1]  Sablé des Flandres ®.

[2]  Nicolas Wavran (qui vient de tirer la chaise de Guilbert).

[3]  Charlatan !

[4]  Une classe, évidemment...

[5]  Orthographe incertaine.

[6]  Lire : « les fesses ».

[7]  Notée par Jean-Philippe Vandewalle.

[8]  eau-non-bue.

[9]  Rappelons que M. Boutry est un homme politique important dans la région !

[10]  Simon Cussonnet !!!

[11]  Livre de Grammaire dont l’achat était seulement conseillé.

[12]  Pendant que M. Alloucherry parle

[13]  Plus connu sous le surnom de « Bargin ».

[14]  la fuite

[15]  Maîtresse !